Taiki Tsuzukimi

Nom : Tsuzukimi
Prénom : Taiki
Surnom : /
Âge : 19 ans
Monde de Naissance :Monde réel
Statut : Etudiant en médecine et serveur dans un café

"Vous"

Apparence physique : ( 5 lignes minimum)

Taiki est jeune homme assez grand, il mesure 1m 80. Il est plutôt fin, mais possède une belle musculature. Son corps est athlétique est notamment dû aux nombreux sports qu’il pratique.
Son visage d’un ovale presque parfait, laisse perpétuellement apparaître un petit sourire mystérieux. Certains pensent que c’est un sourire moqueur, d’autre tout au contraire y voient le sourire d’un ange. L’ambiguïté de l’expression du visage du jeune homme, lui plaît assez.
Il a de beaux yeux bleu vert, pareille à ceux de sa sœur jumelle, légèrement bridés. Son regard est franc et sincère, tantôt inexpressif, tantôt dénué de toute humanité, ce qui accentue cette impression insaisissable.
Le teint laiteux, presque pâle de Taiki, lui confère ce petit air plein d’innocence des jeunes enfants.
Quand a ses cheveux, impossible de les coiffer. Ils sont toujours tout ébouriffés ! Pourtant, cette coiffure rebelle sied à merveille. Contrairement à sa sœur, Taiki n’a pas teint ses cheveux en blond, les préférant brun. Ses cheveux sont fins et très soyeux pour un jeune homme, ils ont des reflets roux au soleil, ce qui embellit davantage le visage de Taiki.

Niveau style vestimentaire, Taiki aime porter des baggys surmontés de chemises ou de pull légers. C’est un jeune homme dans le vent – comme on dit. Pourtant il ne prête pas plus d’attention à son apparence extérieure. C’est naturel chez lui.
Caractère : (7 lignes minimum)

Taiki est un jeune homme spontané et très ouvert. Le genre de jeune homme qui attire naturellement les gens par son aisance. C’est pourquoi, il a de nombreux amis.
Peu importe le nombre de fois qu’il tombera, Taiki se relèvera toujours. Toujours plus fort et plus fier.
Il a des rêves et des buts et se battra pour eux jusqu’au bout. Taiki est le genre de personne qui semble réussir sans jamais avoir de difficultés, le genre de personne pour qui tout semble si facile, qui a une chance sans aucune pareille mesure. Pourtant, il connaît la rudesse du monde et est conscient que pour atteindre ses buts, le travail est la seule et unique façon d’y parvenir.

Véritable bout en train, il sait rester calme lorsque la situation l’impose.
Rieur et joueur, il est une personne agréable, avec laquelle on peut se détendre, car il ne cherche pas à juger les gens. Toujours assez simple, il a le don de redonner le sourire. Sa franchise et sa sincérité sont souvent pris comme un manque de tact, mais il réprouve l’hypocrisie et les sous-entendus ambigus.
Ainsi souvent on trouve qu’il manque d’une certaine délicatesse. Mais qui a dit qu’il voulait être délicat ? Malgré sa bouche parfois un peu trop grande, il sait se faire apprécier des autres et on finit même à penser que c’est une grande qualité que de manqué d’un zeste de finesse.

Pour lui tout le monde se trouve sur le même pied d’égalité. Aussi inutile de lui demander de faire preuve de plus de courtoisie face à un quelconque roi que devant le premier gue qui se présentera à lui. Enfin, cela ne signifie pas pour autant qu’il n’a aucune éducation.

Bien qu’il n’en donne pas l’impression, Taiki est jeune homme très intelligent et studieux. Souvent il paraît dans les nuages, son regard perpétuellement perdu dans l’océan azuré du ciel. Une de ses plus grandes passions est d’ailleurs de photographié les cieux, ce qui lui donne un caractère rêveur et idéaliste.
Il aime pratiquer des sports, comme le basket, ou le Kung-fu, ce qui a su lui forger son esprit. C’est un gagnant, qui malgré son air joueur et rêveur, sait s’imposer comme tel.
Il n’est pas spécialement prétentieux, bien qu’il lui arrive de fanfaronner de temps à autres.

Mystérieux musicien à ses heures perdues, ses doigts effleurent avec ivresse les touches du piano, des heures durant. Il aime énormément la musique, celle-ci lui ayant apporté beaucoup.

Après ce profil d’athlète, d’artiste et de rêveur, difficile de penser que ce jeune homme ait l’ambition de faire carrière dans la médecine. Et pourtant tel est son projet d’avenir.

Taiki s’attache facilement aux gens et prend à cœur ses relations avec ses proches. Pourtant, il apprécie tout autant des moments de solitude ; des moments où seul le chant de la nature résonne à ses oreilles.
Ce jeune homme, un peu dans la lune, peut ainsi paraître à la fois si inaccessible et si proche, qu’il est difficile de le sonder.

Un peu naïf, mais pas pour autant complètement gaga, il fait un peu trop facilement confiance aux gens et ne met rarement leur parole en doute.
Il a ses opinions, certes. Et sait les défendre avec vivacité lorsqu'il le faut. Mais, quoique persévérant, Taiki n’est pas du genre acharné. Ainsi pas question d'imposer une idée qui semble mal acceptée par une personne de son entourage.
Il prend le temps d'écouter les avis de ses proches ou bien il réfléchit bien avant de prendre une initiative. Et cela afin d'être certain de son choix.
Sa nature très souple et son sens de l'objectivité lui permet de trouver les décisions justes qui plaisent à tout le monde. Il a appris à gérer ses doutes autant que le respect des autres. Il a finalement trouvé cet incroyable équilibre entre l'envie d'imposer ses désirs et celle de satisfaire les gens qui l’entourent. Ainsi, on peut dire qu’il est de nature conciliante.

Frère, très protecteur, il prend soin de sa sœur, à laquelle il tient énormément. Il est capable de comprendre ses sentiments, ayant depuis toujours vécu avec elle, mais ce n’est pas pour autant qu’il est toujours d’accord avec Mizuru. En outre, il la laisse prendre ses décisions par elle-même, et ne l’empêchera pas de vivre ses passions, si tel est son désir, bien que cela lui coûte beaucoup.
Pouvoirs : /

Biographie

La réalité est aussi froide que la glace et aussi douce que la brise. Le vent apporte les prémisses d’un hiver froid, des premiers flocons. Cette ville au mille lumières, quelle est-elle ? Difficile à dire, elles sont si nombreuses aujourd’hui…

Et les gens passent, sans jamais réellement prêter attention à ceux qui se pressent à leur côté. Ils marchent. Le sourire aux lèvres, les larmes aux yeux. Ils marchent. Ils continuent tous leur chemin. Le bruit des voitures résonne au milieu de la rue, parfois, l’on peut même percevoir le bruit d’un klaxon. Mêlé à cette mélodie infernale, celui des voix de milieux de japonais… Ah oui… le Japon… ne serait-donc pas Tokyo. Cette ville aux grattes ciels, apparaissant comme ça, du jour au lendemain ? Sans aucun doute, il s’agit bien de cette ville.

Les lumières de la ville font penser à un rêve. Un rêve qui n’en attend qu’un autre. L’espoir que le rêve soit plus beau que la réalité… qu’il mène là, où l’on veut aller… Il s’agit là, certainement, d’un très beau rêve. Aussi laissons-les se faire bercer par cette douce illusion…
Et s’échapper de ce monde où la vie résonne dans un brouhaha ininterrompu.

Histoire Passée : ( 10 lignes minimum )

A travers la fenêtre, l’on pouvait apercevoir les premiers flocons de neige de l’hiver. Légers et silencieux, leur chute inévitable, les laissaient se poser délicatement sur le sol froid, puis disparaître. Dans cette douce atmosphère, deux petits enfants virent pour la première fois le jour. Mizuru et moi, Taiki Tsukimi. Des jumeaux. Des enfants comme les autres…

A vrai dire, je ne me rappelle ni du jour de ma naissance, ni de mes premières années. Mais l’on m’a dit un jour. "Toi et ta sœur vous étiez le petit rayon de soleil de vos parents et la joie se lisait dans leurs yeux lorsque leur regard se posait sur vous… "
Seulement, moi, je ne me rappelle ni de ces doux sourires, ni de ces regards pleins de tendresse… mes souvenirs ne débutent qu’à mes six et encore ils sont assez flous.

A cette époque là, mes parents, ma sœur et moi, passions énormément de temps ensemble. Tous les week-ends, nous partions en randonner dans la montage. Aujourd’hui, encore, je peux me rappeler combien nous avons ris tous les quatre. Papa et moi, nous amusions à taquiner Mizuru et maman.
Lors d’une de nos petites excursions, papa et moi avions pour la première fois préparé le déjeuner… Etrangement… il s’échappait de la cuisine une odeur… de brûlé… Nous avions brûlé les œufs. Maman et Mizuru avaient ri toute la journée de nous et elles se promirent de ne plus jamais, nous laisser rentrer dans la cuisine. Les conséquences pouvaient être fatales… et ni moi, ni papa ne les avions contredit.

C’est dans cette ambiance aussi chaleureuse que la douceur d’un rayon de soleil se posant délicatement sur votre peau au début de l’été que je vivais dans l’insouciance. L’inconscience de la rudesse de la vie. L’innocence de l’enfance. Ce sont des sentiments légers comme la brise. Des sentiments, doux comme les flocons de neige… et tout aussi éphémères.

Tandis que ma mère et ma sœur nous préparait de délicieux mets dont elles avaient le secret, mon père m’enseignait le piano. Une légère mélodie résonnait dans notre petite maison. De temps en temps, une petit faute de note, puis l’air reprenait doucement, comme si de rien n’était ; effaçant comme la neige en hiver, les défauts du pavé, laissant la nature sous son manteau d’une blanche candeur.

C’était à peu près ainsi tous les soirs avant le repas. Puis au moment de se mettre à table, je jouais le dernier accord, puis me précipitait à la salle à manger avec mon père. Il faut avouer, qu’à cette époque-là, déjà, j’étais un réel « ventre sur patte » ! J’adorais manger et le plus étonnant, est que je peux manger tout ce que je veux, sans prendre un seul petit kilo ! Maman disait toujours :

" Haa , si je pouvais manger ainsi, moi aussi, sans jamais ne rien prendre… ce serait vraiment bien ! "

C’est vrai, grand nombre de femmes avaient le même espoir, mais, il fallait croire que la vie en avait décidé autrement… Mais, maman n’était pas grosse du tout et elle respirait la vie. Par ailleurs, elle n’était pas le genre de femme à se priver si elle avait réellement envie de faire quelque chose, toujours la tête dans les nuages. Peut-être est-ce d’elle que je tiens cette passion pour l’immensité du ciel azuré ? Oui. Certainement.

La journée, je m’en allais souvent jouer avec Mizuru. Nous faisions de petites parties de cache-cache. Parfois, je grimpais à un arbre et en profitait pour lire silencieusement à l’ombre du soleil, tandis que Mizuru dessinait. Déjà, je pouvais voir son talent. Le talent d’une vraie artiste. De temps à autre, du haut de mon arbre, je jetais des coups d’œil intéressé à ses croquis et lui demandais :

" Tu dessines quoi ? C’est plutôt pas mal ! "

Alors de sa toute petite voix, un peu timide, mais pleine de patiente, elle me répondait et m’expliquait ce qu’elle faisait. Je dois bien l’avouer, que parfois, il était réellement difficile de comprendre tout ce qu’elle essayait de m’apprendre, mais je l’écoutais toujours.
Cette petite enfant, frêle et attendrissante, j’étais heureux de me trouver à ses côtés et d’être le seul à toujours pouvoir la protéger. C’était le petit rêve d’un gamin de six ans… et je ne le lui avouerai peut-être pas aujourd’hui, car c’est un peu gênant.

Elèves studieux, nous excellions dans toutes les matières. Nous faisions la paire. Après l’école, nous allions souvent nous promener près d’une rivière et lorsqu’il faisait très chaud, nous amusions à nous éclabousser. Nous rentrions mouillés, comme si nous venions de nous jeter à l’eau, ce qui n’était pas tout à fait faux, d’autre part. Maman nous réprimandait un peu et nous envoyait prendre un bain « à la vitesse éclaire, sinon pas de repas ! ». C’était un argument assez convaincant pour nous faire monter les marches de l’escalier quatre à quatre et se presser dans la baignoire.

A l’école, j’avais de nombreux amis tout comme Mizuru, en effet nous n’avions aucun mal à nous entendre avec les autres. Il était assez facile, pour nous de nous intégrer et puis de toute façon, quoi qu’il pût arriver nous étions toujours deux. Je n’ai jamais eu peur ou bien même souffert de la solitude, car elle a toujours été auprès de moi, comme j’ai toujours été auprès d’elle.
C’est ainsi que nous avons grandit, dans cette douce et agréable ambiance. Ni Mizuru, ni moi, avons imaginé une seule seconde que les choses auraient pu changer, car pour nous, notre vie était ce qu’il y avait de plus parfait, ce qui nous était de plus cher. Pourtant… ce jour arriva… ce jour, où un tremblement de terre causa la mort de nos parents.
Il ne me reste que de maigres souvenirs de ce jour fatidique. Tout ce dont je suis certains, c’est que Mizuru et moi, étions ensemble. Puis, grand-père et grand-mère étaient venus nous chercher. Ils avaient l’air affolé, soulagé et pourtant des larmes coulaient sur leur visage. Depuis, nous avons vécu chez eux.
Ce fut dur de se dire, que plus jamais nous ne les verrions. Eux, qui nous avaient tant donné. Nos parents.

Pour la première fois je pouvais sentir la solitude. La solitude qui empoignait férocement mon cœur d’enfant. Mizuru et moi, n’avions que treize ans… J’avais l’impression qu’ils nous avaient abandonné… de tout perdre. Je tombais alors dans le vide… dans le néant… rien n’avait de sens et mes larmes de cessaient de couler sur mes joues. Où était Mizuru ? Je ne la voyais plus !
Je n’avais fait que m’endormir, elle se trouvait à mon côté dans une petite chambre qui m’étais totalement inconnu. Les murs étaient nu, blanc, ce qui détonnait avec les goûts de maman, qui appréciait décorer toute la maison selon sa fantaisie.

Ce soir là, j’observais Mizuru dormir. Durant son sommeil son était corps frêle était parcouru de soubresaut. Quelques larmes coulaient encore sur sa joue. Elle paressait faire des cauchemars… Et moi, adolescent de treize ans, que pouvais-je faire ? Je n’étais moi-même plus capable de me reconnaître. Alors je lui caressais doucement les cheveux, vain espoir de la réconforter. Mon cœur blessé, les yeux rouges et bouffis, je vis les premiers rayons de soleil s’infiltrer à travers la fenêtre… A ce moment-là, je compris que ma tristesse avait beau être épouvantable, le temps ne s’arrêterait pas pour autant. Les jours passeraient, la nuit tomberait encore et encore, puis viendrait la nuit à nouveau. Un cycle ininterrompu.

Malgré tout ce dont j’étais conscient il me fallut un long mois, avant de pouvoir me relever. Durant ce long mois de convalescence, Mizuru et moi continuons d’aller en cours… Mais je n’aurais su dire ce que l’on n’y faisait, sinon apprendre, appliquer et encore apprendre des leçons. Tous deux nous nous étions renfermé dans nos études et dans nos passions. Je passais mes jours, soit percher sur un arbre à admirer le ciel, un stylo en main et des exercices sous le nez, soit avec mon piano que je ne quittais que rarement. J’allais toujours au club de basket… mais… ce n’était que des automatismes… je vivais. Non, ce n’était pas vivre. J’agissais tel un robot. La seule personne dont je me préoccupais à part moi, était ma sœur, qui ne semblait aller bien mieux que moi, sinon qui allait encore moins bien… Alors je tâchais de la réconforter.

Finalement, je ne saurais dire comment, je réussi à me réveiller de mon amorphe-attitude. Certainement grâce à mes camarades toujours présents pour me réconforter. Seulement Mizuru n’allait pas mieux. Aussi, je décidais de rester d’avantage avec elle. J’essayais de la faire sourire, lui jouait des morceaux qu’elle aimait. Nous étions très proches… le pire aurait été que je la perde. Je délaissais mes amis, pour ma sœur et cela en valait la peine, j’en étais certains. Après tout, elle était la seule famille qui me restait, si on omettait mes grands parents, bien sûr.

La reprise des cours au collège fut une réelle bouffer d’air frais pour la fratrie Tsuzukimi. Mizuru s’ouvrit à nouveau aux autres, ce qui me soulagea énormément. Enfin, elle retrouvait sa joie de vivre. Quand à moi, je décidais de repartir sur de nouvelles bases. Naturellement, nous nous fîmes rapidement de nouveaux amis. C’était un grand pas en avant. Et la vie reprenait de ses couleurs. Les fleurs de Sakura au printemps étaient d’autant plus belles, le ciel azuré que j’aimais tant avait retrouvé toute sa magnificence. Mes mélodies avaient retrouvé la musique et partout où j’allais je l’entendais.

Avec Tsukia, Rei, Hikaru et Mizuru, nous formions un sacré groupe. Je m’attachais à eux comme si je les avais connu depuis toujours. Les journées passées en leur compagnie devenaient de très beaux souvenirs, des souvenirs inoubliables.
Il s’avéra que Tsukia et moi, nous nous entendions à merveille. Aussi, elle devint ma meilleure amie. Etonnant, moi qui avais toujours pensé que ce serait un et non une meilleure amie. Mais, ainsi va la vie et on ne sait jamais où elle nous mènera.
Nos belles années de lycées se déroulèrent ainsi. Pour une raison ou une autre, je n’ai jamais eu de petite amie durant cette période… ou peut-être parce que je ne m’étais encore aperçu combien Tsukia était importante à mes yeux. Sa présence, qui m’était devenue habituelle… j’allais bientôt en être privé, car, il ne restait qu’une semaine de cours.

Deux ans plus tard.

Les belles années de lycées commençaient… mais nous avions choisi des chemins différents… J’aspirai à rentrer à Todaï après le lycée ou du moins dans une grande université de médecine…

Enfin, cette séparation ne fût pas la fin de notre amitié, qui perdura malgré tout. Etonnant, n’est-ce pas ? Quoi qu’il en soit, au lycée j’intégrai le club de basket et sur le terrain je me sentais vraiment bien. Premier de ma promotion, je devins le représentant des élèves et finit par en devenir le président.

La fin de ces belles années arriva… pourtant, nous gardions tous contact. Je suis rentrée dans une grande Fac de médecine après longuement avoir hésité à devenir photographe.
Histoire Actuelle : ( 5 lignes minimum)

Aujourd’hui, ma vie ne semble pas tellement avoir changé. Je travaille énormément pour pouvoir suivre les cours et en même temps assumer mon travail à mi-temps. Mes grands-parents m’avaient proposé de payer mes études, mais j’avais refusé. Ça pourrait paraître impensable de refuser une telle offre, mais ils m’ont déjà tellement donné que je ne peux leur en demander d’avantage. Aujourd’hui j’ai mon propre appartement, qui m’a à moitié été offert par mes grands-parents, qui ne pouvaient s’en empêcher. Néanmoins cela m’a beaucoup aidé. Naturellement je vis toujours avec ma sœur, qui suit des études de langues ! D’ailleurs je ne sais pas comment elle fait. Moi-même, je ne suis que bilingue anglais.

Enfin… chacun ses rêves après tout…

Mais là, il ne s’agit que de ma vie éclairé par les doux rayons de soleil… Mes nuits sont hantés par le voyage dans un autre monde. Non, mais et mes beaux rêves ?! Et bien, je crois que je peux les oublier, car lorsque mes paupières se ferment, je me retrouve dans un monde où règne le malheur, l’infamie… un monde où celle que j’aime, joue un rôle décisif. Un monde où l’on a besoin d’elle… c’est pourquoi, je me battrai pour elle, s’il le faut.
Dans ce monde… dans ce rêve ( ?), qui est un réel cauchemar, je me suis déjà trouver un rival… Et je n’aurai certainement pas pu mieux tomber… puisqu’il s’agit du prince lui-même !

Oui, je n’en ai jamais assez de me compliquer la vie. Mes rêves, non rien de charmantes ballades au clair de lune, bien reposante et à cela je dois encore ajouter à ma liste le fait que je me fais ennemis du prince du royaume… auquel j’ai déclaré :

« J’aime Tsukia ! Et je ne te la laisserai jamais ! Jamais ! »

Non, je ne me plains pas du tout. Et je suis même fier de moi… Si même dans mes rêves, je peux être auprès de Tsukia, que pourrais-je espérer de mieux ? Pourtant, il me semble que ce royaume, qui répond au nom de Kyokou, nous réserve de nombreuses surprises…
Famille : ( 5 lignes minimum )

Mes parents sont morts lors d’un tremblement de terre. Nous étions une famille très unie jusqu’à ce que ce jour fatal ne mette un terme à leurs jours. Depuis, ma sœur jumelle- Mizuru- et moi, avons vécu chez nos grands-parents maternelles. Ils sont la seule famille qui nous reste, malheureusement. Ce vieux couple, nous a éduqués avec amour et attention, si bien qu’ils ont su penser la tristesse de nos cœurs blessés. Je suis très proche de ma sœur et de mes amis. Contrairement à ma sœur, je suis à même de pouvoir compter sur eux tout autant que sur elle.

En plus

Ambition : Devenir chirurgien
Votre camps : Celui des élues (et de Tsukia surtout)
Secret(s) : Il n’a pas vraiment de secret, vu son caractère naïf et rêveur, sinon peut-être son passé, dont il n’aime pas beaucoup parler.

Hrpg

Prénom/Pseudo :
Âge : 16 ~> 17 ans
Comment trouvez vous le forum ? Très beau, très bleu *O*
Comment avez vous découvert le forum ? Haha…
Nan, nan, je rigole… je l’ai découvert grâce au partenariat qu’à fait une des admins sur un autre forum.
Votre présence sur 10 : 3~5 /10 ( Désolée la semaine, c’est just’ pour moi, à cause des cours :s)
Votre niveau Rpg : Assez bon, enfin c’est à vous de voir après !
Avez vous lu le règlement ? Bon code by Rei

Bienvenue sur le forum ^___^

Tout m'a l'air en ordre ^^ J'ai validé ton code mais je préfère laisser Tsukia contrôler le fond (ce personnage lui étant plus lié)

Pitite question : quel forum en partenaire ? *O*

C'est une excellente question Cool

... (aujourd'hui, je crois que j'aime bien faire languir les gens xD)
Enfin bref... Sur Nana ^^ ! (comme quoi, il m'arrive d'aller jeter un coup d'œil aux partenariats x) )

En tous cas merci, pour l'accueil =) !

Bienvenue bienvenue ^-^
Comme je l'ai dit à Rei sur MSN, j'approuve ta présentation ^-^
Deux pages O_o ??
Mais comment vous faites ? Je me sens minable à côté u_u

Enfin bref, encore une fois bienvenue !!

Soit dit en passant, ton ava de Kamui est magnifique >w<

Oooh et tu es inscrit sur le forum Nana ? (tu es qui ? *__* j'suis curieuse Razz

)

Merci Tsukia !

(En fait, j'avoue ça m'a prit un peu de temps cette après-midi de faire l'histoire ^^ )

Haa, n'est-ce pas qu'il est beau mon Taiki x) !

Sinon Rei, nya... tu ne sauras pas... avant longtemps ^^ ! (enfin... bon en fait je pense que tu sauras très bientôt, mais bon d'ici là ^^!! Vive le Rp x) !)

u___u Je le saurais ! XD (*vas voir l'adresse ip*)

Oh la méachanteeee! Elle tricheeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee! affraid

XD.... Bon... bah... je te laisse quand même aller la voir xD ! Laughing

Hihi, je pense que j'ai trouvé ^o^ (pratique cette fonction :p)

Bienvenue à Yume no Kuni ! ^^

Très joli (et longue) présentation ! Moi aussi je me sens minable ! xD
J'aime vraiment ton personnage ! ^w^ Que ce soit la présentation ou l'avatar !! >w<

Rei>>> mouè... ouiin...xD (bon je m'en remettrai... peut-être x) )

Suzurin >>>Merci beaucoup ^^ !

Je suis super content que ma présentation te plaise, parce qu'elle m'a donné un peu de mal (inspiration, douce et tendre inspiration...dur dur à trouver xD)!

Oui, elle me plaît énormément, en plus c'est un personnage naif, ouvert d'esprit, rieur, fière, ...
Ahhh~ Que j'adore les personnes rieurs et toujours joyeux, ton personnage pourrait bien s'entendre avec mon personnage ^w^

Et bien ça c'est de la présentation et en plus bien qu'elle soit longue elle se lit bien et vite ><
Bienvenue parmis nous sur Yume, Taiki Very Happy

Merci Kurorin !

Suzu>>> j'ai hâte de RP avec toi alors Wink

!

(Allez, je file, c'est l'heure d'aller en cours ^-^')

Wouahh ! Attention je suis vraie débutante, c'est mon premier forum rpg xD

Arf, tu as cours... Bon courage ^.^ !

Pas de problème ^^ ! J'attendrai donc que tu t'éveilles de ton profond sommeil Wink

!
(Je vais profiter encore un peu de la lumière du monde réel x) )

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