Tsuzukimi Mizuru

Identité :

Nom : Tsuzukimi
Prénom : Mizuru
Surnom : Tsuki', Mizu', Frangine, Mizu-chan, Miru-san... A vous de lui en trouver d'autres
Âge : 19 ans
Monde de Naissance : Monde réel
Statut : Etudiante en lettres animant une émission de radio en début de soirée, on peut parfois la considérer comme une de ces idoles japonaises puisque le début de sa carrière dans la radio et surtout du à son look qui plaît au public.

"Vous"

Apparence physique : Depuis quelques temps, Mizuru se cultive un physique qu'elle espère exotique. Les peaux aux nuances jaunes et les cheveux noirs qui sont d'ordinaires caractéristiques des japonais ne lui conviennent plus. Il est temps pour elle de se démarquer et elle y parvient plutôt bien. Pour commencer, notons sa couleur de cheveux. Notre bretteuse a compris que puisqu'elle avait la peau d'une occidentale, elle pouvait très bien en avoir les cheveux. Ainsi, elle a opté pour un blond très british et aime se faire des anglaises quand l'envie lui prend. Elle a d'ailleurs énormément d'accessoires à cheveux et Taiki qui partage avec elle appartement et salle de bain, du moins l'espace qu'elle lui laisse, pourrait en témoigner. La plupart du temps, elle sépare ses heveux en deux parties et se fait des couettes ou les laisses détachés, agrémentant toutefois de quelques barrettes fantaisistes aux tendances rebelles. Comme bien des jeunes filles de son âge, elle porte la frange.
Passons à son maquillage auquel elle consacre beaucoup d'importance. Mizuru n'aime pas faire les choses pour rien. Et quand elle se maquille, elle veut que cela se voit. Elle ne mets pas énormément de maquillage, du moins beaucoup de produits en quantités moindres, mais elle mets des couleurs qui se remarqueront, tout en mettant en valeur son regard.
Parlons-en de son regard. Pas celui d'une asiatique, non. Quoique ses yeux soient légèrement bridés, ils sont d'une couleur émeraude aux reflets bleus. Un champ sous l'océan qui luirait à la lumière du soleil à son zénith, toutefois voilà par une brume mélancolique. Vous l'aurez compris, Mizu' a un regard très expressif.
Sa peau plutôt pâle possède une pigmentation bien difficile à décrire. Mélange de celle d'une asiatique et d'une européenne, elle contribue à cet exotisme que Mizuru cultive. Et pour l'instant, son penchant pour la cigarette n'as pas d'incidences dessus.
Pour ses vêtements, elle aime les choisir rebelles. On pourra la croiser portant un uniforme traditionnel, mais des barettes à tête de mots orneront ses cheveux. Et il ne s'agira là que d'un strict minimum. Le reste du temps, elle se permet tout. Minijupe, brassières... mais pas les deux en même temps. Malgré son goût pour la provocation, verbale ou non, Mizuru garde une sorte d'élégance et de raffinement et ne s'abaisserait pour rien au monde à dévoiler ses charmes dans le but de plaire. Son corps tout en finesse et embellit par les nombreux sports qu'elle pratique lui permet de constater qu'elle est jolie, sa silhouette tout en courbes est d'ailleurs gracieuse mais elle s'habillera toujours "correctement". Pour ce qui est de la longueur des vêtements, du moins. Les jeans troués ne lui font pas peur et elle s'habille toujours à la mode occidentale, suivant les tendances franco-brittaniques. Que voulez-vous, on aime l'Europe ou on ne l'aime pas et Mizu a fait son choix. Tant pis si son apparence est à l'encontre de la mode japonaise. Elle fait ce qui lui plaît.
Caractère :Mizuru est une jeune fille que l'on qualifie aisément de sociale. Malgré sa grande timidité lors de son enfance, elle s'intègre aujourd'hui parfaitement en société. Certains la définissent même comme populaire. Son travail n'y est sans doute pas pour rien puisqu'elle y côtoie des gens de toutes les classes sociales mais la présence de ses amis lui a sans doute été plus salvatrice de ce côté-ci.
Elle accepte toutes sortes de différences, pensant que l'intérêt naît principalement de celle-ci et cultivant au mieux les siennes. C'est bien ce qui justifie sa tenue vestimentaire hors des sentiers battus. Mizuru n'as peur de rien et choquer les xénophobes semble être devenu un loisir pour elle. Bien sûr, elle est bien éduquée, prend la parole quand il le faut. Disons qu'elle s'adapte, plutôt habilement à ses interlocuteurs. Bien que chacun soit au même niveau, elle se permettra un langage différent selon le statut social de la personne. Mais ordinairement, elle s'occupe peu de la courtoisie. Elle fait ce qu'elle veut, quand elle veut, où elle veut. S'il lui prend l'en vie de chanter sous la pluie en pleine ville, elle le fera. Ne serait-ce que pour ne pas rater le sel de la vie, cette pincée de folie, ce petit grain comme on dit sarcastiquement mais qui vous permet de profiter pleinement de votre existence sans craindre le regard des autres.
Elle est très appréciée en amitié, du fait de sa spontanéité et sa franchise, quoi que cette dernière soit très relative. On ne peut pas vraiment dire qu'elle soit hypocrite, toutefois elle choisit les vérités qu'elle dit. Elle ne ferait rien pour porter préjudice à ses amis, mais elle ne va pas pour autant se dénigrer, surtout en société. On remarquera que lorsqu'il s'agir de quelque chose dont elle est peu fière, elle change habilement de sujet. Malgré sa spontanéité, son trop-plein d'énergie comme disent les mauvaises langues, elle agit tout en finesse. Elle se fait des amis petit à petit, triant rapidement personnes sincères et profiteurs, sauf peut-être lorsqu'il s'agit de ses amours, on peut dire qu'elle prémédite même ses sentiments. Ses ruptures amoureuses et le décès de ses parents lui ont laissé des séquelles qu'elle ne pourra jamais combler et son coeur meurtri n'ose plus vraiment s'attacher.
Est-ce pour cela qu'elle apprécie tant les voyages, le manque d'attache et la solitude? Sans doute. A la manière dont un loup vit en meute mais demeure solitaire, Mizu-san apprécie le calme et les grands espaces. Il lui arrive de disparaître le temps d'un week-end, sans donner ni nouvelles ni justifications, tout au plus un post-it collé sur le frigo de l'appartement qu'elle partage avec son frère, ledit papier renseignant tout autant sur les restes du frigidaire que sur son absence. Durant ce laps de temps, elle parcoure les points culminants situés en pleine nature où elle sait qu'elle pourra avoir une vue imprenable sur la nature. Il lui suffit ensuite de s'allonger à plein ventre, au diable les traces sur les vêtements, et d'observer à s'en abîmer les yeux avant de dessiner. Si Taiki aime figer la nature au moyen de photos, Mizuru n'aime rien de plus que la dessiner et y ajouter, par conséquent, sa touche personnelle.
Ce qui ne signifie pas que la jeune fille ne soit que calme et observation silencieuse. Rares sont ceux qui peuvent la voir s'investir pleinement dans ses passions, la natation, la musique et l'escrime. Bien qu'apaisée par le silences de l'eau, Mizuru se donne à fond en natation, dépense toute son énergie à veiller au studio de radio pour préparer ses partitions tout en veillant à la satisfaction de ses auditeurs et déverse sa rage de vivre par l'escrime.
Se dépasser est devenu plus qu'un petit plaisir, c'est une raison de vivre. Ainsi, parvenir à contrôler les trémolos de sa voix lorsqu'elle chante lui procure une immense satisfaction. De même que l'escrime et la natation qui lui permettent de se mesurer tour à tour à ses propres limites et celle des autres. Néanmoins, son obsession pour la victoire ne la pousse pas à tricher car elle accorde une grande place à l'honneur. Vestige de sa passion pour la France avec un grand "F", ses histoires d'escrimeurs passionnés et sa position lors des guerres? Trop grande obsession pour l'occident? Allez savoir, Mizuru est trop versatile pour avoir elle-même une réelle opinion sur la question.
Pourtant, cette rêveuse aux yeux teintés de reflets marins n'en devient pas moins véhémente lorsqu'il s'agit de défendre ses intérêts ou ses amis. Il n'est pas rare qu'elle s'emporte contre ceux qui s'en prennent à ses proches, allant même parfois jusqu'à en venir aux poings. Elle a suivi une initiation au krav-maga il y a peu longtemps pour pouvoir parer l'absence de son fleuret et le pouvoir dissuasif qu'il a.
Extrêmement proche de son frère, Mizuru ne lui dit néanmoins pas tout. Depuis qu'elle a découvert ce monde alternatif qui ne leur apparaît que par rêves, elle semble bien moins proche de ses amis. Certes, sa bonne humeur est intacte, mais ce n'est qu'une apparence. Son regard très expressif se teinte de mélancolie et elle plonge souvent dans de lointaines pensées. Elle aurait du mal à compter les mensonges à son frère, bien qu'elle l'aime toujours autant. Le fait de savoir qu'elle pourrait à tout moment le combattre l'effraie. De plus, elle éprouve une certaine jalousie envers Tsukia mais ne lui a jamais parlé. Peur du ridicule? Nul ne le sait. Mizuru sauve le principal dans ce changement de comportement qui la pousse à la dépendance à la cigarette et aux insomnies. Les apparences sont intactes et le resteront.

Pouvoirs :

Aquakinésie : Elle s'en sert principalement comme bouclier. Pour trouver de l'eau, elle se sert entre autres de l'eau de son corps (le corps humain étant composé à 80% d'eau, elle peut se permettre d'en prendre un peu) et dans celui de ses adversaires afin de provoquer des malaises par déshydratation. Mais cette pratique nécessite une grande concentration. Ce qui la force à préméditer son action tant qu'elle n'est pas engagée en combat ou avoir quelqu'un pour la protéger le temps qu'elle épuise son adversaire. Enfin, elle peut bouger l'eau qui se trouve autour d'elle et rester longtemps sous l'eau (il lui suffit d'écarter l'eau autour d'elle pour ne pas garder que l'air, en plus ça lui évite de se mouiller et faire un brushing! xD)
Téléportation : Pouvoir tout bête, tout le monde le connaît maintenant. Si elle l'utilise suffisamment vite, elle peut s'en servir comme de l'invisibilité.
Lévitation : Ah, voler. Le rêve d'Icare, tout ça. L'une des grandes ambitions de Mizuru qui par miracle se réalise enfin. Bien sûr, elle ne peut pas aller très haut. Mais pour l'instant c'est un bon début et elle gagne de la hauteur en se téléportant. Ensuite, il faut juste éviter les courants d'air ascendants et c'est presque un jeu d'enfant. Presque...

Biographie

Histoire Passée : "Mon histoire? Vous pourriez aussi bien la demander à Taiki. Ca fait des années que je ne vis plus"
A chaque histoire son commencement. Il y a en a qui commençent bien, d'autres non. Il y en a qui débutent mal, d'autres non. Il y en a qui finissent bien, pas toutes.
En l'occurence, celle de Mizuru commença drôlement bien. Des parents aimant et un frère qu'elle adorait. Mais on peut dire que ça partit mal, de traviole pour ne pas être vulgaire. Quoique vu la situation, elle aurait de quoi lâcher quelques jurons.
"Tu t'égares, là."
C'est vrai, on en revient au passé. Donc, comme je l'ai expliqué, Mizuru naît entourée d'amour. Très vite, elle s'éprend du monde qui l'entoure. La nature lui paraît magnifique. Elle pose ses petits doits sur des crayons. Elle commence à dessiner. L'étreinte se ressere. Et jamais elle ne faiblira.
"Narratrice... viens en aux faits."
Mais comme je l'ai dit plutôt, si l'histoire de Mizuru commençait bien, le reste fut moins funny.
Pourtant, on pouvait dire que ce n'était pas mal. Elle aimait son frère et ses parents. Elle se découvrait des talents pour la patîsserie, l'escrime et surtout le dessin. C'était une enfant brillante, dotée d'une jolie voix quoi qu'incapable de comprendre la musique.
Elle se révélait être un cordon bleu comme le dit l'expression et c'est à ce moment que sa mère lui parla de l'Europe. Ah, l'Occident... Des terres si lointaines qui ne manquèrent pas de fasciner Mizuru. Sa mère lui contait ses voyages en Europe, la multitude de culture. Flamenco, Tour Eiffel, flegmme anglais, tout y passa. Les accords de piano de son frère furent oubliés. Découvrir le monde. Enfin un but.
Mizuru s'imagina maintes fois les voyages qu'elle pourrait faire. Chaque jour était différent. La vie semblait parfaite. Comme chaque enfant, elle avait ses rêves. Vivre en appartement avec son frère avant de trouver un prince charmant. Acheter une grande maison en Europe. Dans les plaines écossaises, au bord de la Méditerrannée ou sur un chalet suisse. Un jour, elle partirait du Japon. Elle n'abandonnerait pas son frère, non. Mais elle s'en irait plonger dans la vie. Ce ne seraient pas les éclaboussures qu'elle avait connu lorsque son frère et elle se taquinait près des rivières. Elle plongerait dans cette immensité qu'était la vie. Au délà des frontières.
Comme chaque enfant, elle revit ses rêves à la baisse. Ce n'était pas parce qu'elle était mignonne qu'elle avait le droit de passer outre son âge. Enfant intelligente, Mizuru se tourna vers le sport qui lui permettrait de s'épanouir. Très vite, elle commença l'escrime. A l'européenne, pas le Kendo japonais. Se dépasser devint un objectif. Elle ferait mieux que ses camarades, que son frère bien qu'il n'aime pas l'escrime. Malgré les protections, elle s'en tira avec quelques blessures qui venaient se poser sur son visage angélique. Il faut avouer qu'elle s'entraînait après les cours, parfois sans la tenue adéquate. Tout était bon pour s'améliorer.
La vie s'écoulait sans le moindre remous sur ce long fleuve tranquille qu'elle paraissait être.
"Remous... en voilà de l'ironie."
Car ce ne fut pas un remous sur un fleuve. Ce fut un tremblement de terre sur des vies. Les parents de Mizuru naquirent avant qu'elle ait eu le temps de dire à son père qu'elle voulait faire de l'escrime avec lui, qu'elle le battrait un jour.
Pour la fillette de treize ans qu'elle était alors, le monde s'écroula. Elle se renferma sur elle-même. Au propre comme au figuré. Elle passait son temps les genoux repliés contre le buste, bras croisés dessus et visage dissimulé par ses longs cheveux, elle répondait par monosyllabes quand elle répondant. Oh, cela ne changea rien à l'aspect scolaire. Elle se montrait très douée lorsqu'il s'agissait de devoirs écrits, mais elle n'ouvrait pas la bouche pour un oral. Elle se contentait de vous observer d'un regard terne, un regard qui en avait trop vu.
Elle ne se leurait pas, ce n'était pas ça vivre. Elle se rendait à ses cours d'escrime et défoulait une partie de sa haine comme si cela avait suffit à la calmer. Moins elle parlait, plus elle dessinnait. Un univers médieval, où les lames se croisaient. Des paysages. Enormément de portraits de son frère.
Taiki se relevait de la mort de leurs parents. Pas elle. Aussi facilement qu'elle avait affiché un optimisme à toute épreuve, elle sombrait dans la dépression. La seule personne pour qui elle se donnait la peine de faire des phrases complètes, c'était son frère. Leurs grand-parents n'avaient cet honneur. Non pas qu'elle ne les aime pas, elle savait à quel point ils voulaient l'aider. Mais elle ne voulit qu'on l'aide. Elle ne voulait que plonger dans les tréfonds de la dépression. Elle ne se suicida jamais, par remords pour Taiki et par manque de courage. Elle éprouvait assez de mal à savoir qu'il délaissait ses amis pour elle.
Il lui fallait un changement. Quelque chose. Ce fut en rencontrant Tsukia et Rei qu'elle décida de changer. Pour commencer, elle se coupa les cheveux, en fin casque retombant autour de son visage. Ils repousseraient. Elle se décida à les teindre en blond. Et puis, puisqu'il fallait bien se montrer heureux dans ce monde foireux, elle se força à sourire.
Mizuru se passionna pour la musique, dans un registre plus agressif que son frère. Rock occidental. Les grands accords de guitare électrique y passèrent tous. Elle faisait de son mieux pour marcher en dehors de sentiers battus sans froisser personne. Look mi-gothique, mi-rock, regard terne, oreilles percées deux fois sur le lobe. Mais personne ne lui reprochait. Mizuru était une jeune fille brillante, parfaitement bilingue, peut-être même trilingue puisqu'elle parlait un français presque parfait, à l'image de son anglais.
Il faut croire que ce changement d'apparence fut plutôt utile. Dès qu'elle fut en âge de travailler, elle postula pour de petits boulots. Arrivée au lycée puis à la faculté de Todai, Mizuru fut rapidement appréciée. Elle sortit avec bien des garçons, ce qui attira rapidement de petits excès de jalousie chez son frère. Mais les histoires de coeur de Mizuru ne duraient pas longtemps. Elle rompait souvent. De sa propre initiative, ce qui avait pour effet de la laisser se morfondre sur son sort. Elle refusait de rester avec quelqu'un si elle n'aimait pas réellement, passionément. Au final, le résultait demeurait identique. Elle pleurait dans les bras de son frère et noyait son chagrin dans les acitivités diverses dès que son visage avait retrouvé figure humaine, soit dès qu'elle s'était débarassée du maquillage que les larmes avaient rendues coulant.
Mais surtout, elle put se lancer dans la radio. Un coup de chance, un jour, en sortant d'une soirée elle tomba sur une annonce pour le lendemain. D'ici une heure. Pas le temps de dormir, elle se présenta à l'entretien sans avoir cuvé l'alcool bu là-bas. Etrangement, elle fut embauchée. Elle présentait bien, un joli visage à mettre sur les affiches pour présenter l'émission. Sa voix passait bien. Terriblement nerveuse, elle fit sa première émission moins d'une semaine plus tard... bourrée. Mais cela lui réussit. Elle obtint l'emploi.
Histoire Actuelle : ( 5 lignes minimum) Maintenant, Mizuru vit en collocation avec son frère et étudie tout comme lui à Todai. L'uniforme n'étant plus imposé, elle peut pleinement afficher un look rebelle ce qui est loin de lui déplaire. Désormais que son émission de radio a pris plus d'ampleur, elle a fini par devenir véritablement populaire et a gentiment décliné en en faisant profiter son frère un poste de responsables des élèves. Beaucoup de ses camarades lui donnent des maquettes de leur groupe de musique en espérant qu'elle les fera passer et elle réussi à dénicher un véritable talent auquel elle a adhéré. Les élèves plus jeunes qu'elle lui demandent parfois des authographes, ce qui démontre bien sa popularité.
Mais elle est loin d'oublier ses véritables amis et sort régulièrement avec les jumelles et son frère.
Tout pourrait paraître parfait. Il n'en est rien.
Ses notes sont excellentes, mais son investissement médiocre car elle ne se limite qu'au strict minimum. Son niveau d'escrime s'est encore élevé mais elle n'as plus de pitié pour ses adversaire et en a récemment blessé un lors d'un tournoi. Elle enchaîne les histoires d'amour mais son seul amour ne lui accorde pas un regard. Son poste à la radio lui plaît énormément mais elle l'as eu grâce à son image et non à ses talents. Son frère et ses amis l'aiment toujours autant mais on dirait qu'elle cherche à rompre le contact depuis qu'elle a rallié l'Empire. Son groupe de musique passe pas mal de temps à se droguer et elle est devenue accro à la cigarette et s'efforce de le cacher à son frère. L'univers qu'elle voit dans ses rêves lui fait peur, et elle a tendance à réclamer de plus en plus d'attention de la part de Taiki.
"C'était trop beau aussi. Malgré la clope je menais une vie plutôt sympa. Ben non, j'ai la poisse. Il a fallu que je rêves de ce foutu monde médieval. Kyokou ou un truc du genre. Je crois que si comme une groupie je n'avais pas eu le béguin pour le prince, j'aurais fui autant que possible ce monde. J'ai le pouvoir de me téléporter. Peut-être que j'aurais pu tuer la partie de moi qui s'y trouve en sautant d'une falaise. Seulement, je suis pas sûre de rester en vie après ça, donc j'exclues l'hypothèse. Taiki doit me haïr pour mon choix maintenant. Mais je n'y peux rien. J'ai si envie de les rejoindre, lui et les autres. Mais j'ai mes raisons. Il n'y en a qu'une et elle se nomme amour. Et l'amour a des raisons que la raison ignore."
"Réjouissant n'est-ce pas?"
Famille : ( 5 lignes minimum ) "Ma famille? Ben à part mon frère..." Les parents de Mizuru sont morts lors d'un tremblement de terre. Quand on compte le nombre de séismes au Japon, c'est plus de la malchance qu'autre chose. La jeune fille s'entendait bien avec eux, malgré quelques petites disputes. Elle s'est jurée de parler plusieurs langues, à l'image de sa mère qui, fascinée par l'Occident, parlait couramment anglais et français.
Suite aux décès de ses parents, Mizuru fut élevée chez ses grands-parents maternels. Ne refaisons-pas l'histoire, elle en garda de terribles séquelles.
Pas un mot de plus sans parler de celui qui veille sur la jeune fille depuis leur naissance. Taiki, son frère jumeau. Il est évident que Mizuru tient énormément à lui, bien qu'ils se disputent souvent. Depuis qu'elle est allée Kyokou, Mizuru a un bien vilain caractère.

En plus

Ambition : En dehors des boulots qu'elle cumule et de ses études de droit, Mizuru aurait aimé monter un groupe de musique, partir en tournée, ce genre de choses. Pour l'instant, à l'image de sa vie amoureuse, elle se contentera d'attendre.
Votre camps : Celui du Prince... mais plus pour longtemps.
Secret(s) : Bien qu'ayant rejoint le camp du prince par amour, Mizuru commence à se lasser. Certes, son poste lui permet d'exercer ses talents à l'escrime, mais c'est bien sa seule consolation puisque son cher et tendre ne lui accorde pas un regard. Si elle était sûre que ses amies et son frère l'acceuillent, elle rejoindrait aussitôt le camp des élues. Cependant, elle a du s'opposer à eux à Kyokou et n'est pas certaine qu'ils aient envie de la revoir.

Hrpg

Prénom/Pseudo :Elodie / Elyon
Âge :It's a secret!
Comment trouvez vous le forum ?Plutôt sympa, dommage qu'il soit un peu inactif.
Comment avez vous découvert le forum ? Kawai-rpg!
Votre présence sur 10 : Ca risque de dépendre de ma motivation (et des cours aussi, à l'approche des examens) mais je pense pouvoir dire 8/10
Votre niveau Rpg : Bon voire excellent, du moment que je suis inspirée je peux faire de bons et longs posts!
Avez vous lu le règlement?Bon code by Rei

Soit la bienvenue sur le forum Mizu ! ^w^

J'adore l'image de ton personnage avec le style de trous sur les côtés >w<

Hey, c'est Miru !! x)
Parce que Mizu, ça veut dire "eau" donc...
Bref bienvenue !
Bon courage pour la suite de ta fiche ^^

Merci, merci. Je suis très fière de mon avatar *contemple son travail, satisfaite, et plonge dans l'égocentrisme*.

Hum.. pas en public... u____u

Vous pouvez dire les deux! Je vais lui mettre l'aquakynésie en pouvoir et m'en trouver un troisième, els deux autres sont bien sympas amsi avec un peu de stratégie, les autres sont inutiles.

Et voilà! Fiche finie! Oh yeah!^^

Bienvenue sur le forum ! ^-^

Pour moi tout est ok, je te valide ^^

Amuse toi bien ici Wink

Welcome !

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